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Le Révérend Jacques BONUYA

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Qui est le Révérend Jacques BONUYA ?

Il était une fois...

Le Révérend BONUYA BOSILAITO Jacques, naquit le 15 octobre 1970, à Basongo, dans une petite localité, Mondiba dans le secteur de Baluolambila, territoire d’Isangi en pleine forêt tropicale, dans l’ancienne province Orientale, ce qui correspond à l’actuelle Tshopo.
Il est issu d’une modeste famille de sept enfants dont il est le dernier. Il est le fils de BOSANDJA BOSILAITO, son père et TOLEA YAOGALI Louise, sa mère. A sa naissance, au regard des conditions précaires, des difficultés de transport pour se rendre à YAKUSU, le seul centre proche ayant des structures hospitalières fiables, ce fut une sage-femme qui aida Maman TOLEA à l’accoucher derrière la maison, sous les caféiers.
Orphelin très jeune, le jeune BONUYA Jacques passa une enfance assez très défavorisée qu’il n’eût pu poursuivre ses études, faute des moyens quoique présentant despotentialités cognitives appréciées par ses enseignants.
Après la mort de son père, comme maman TOLEYA devait faire face à un lourd fardeau, celui d’élever seule, les sept enfants, il n’est pas anodin, voire marrant que le jeune Jacques ait subit de plein fouet les contraintes de cette disette familiale sur tous les plans. Cet épisode tragique, loin de le fragiliser, l’a rendu plus fort et a conforté son espérance en la vie.
Au terme de ses études primaires, il poursuivit les humanités littéraires qu’il ne put certainement pas terminer faute de frais. Ainsi, il dut s’arrêter en cinquième année des humanités, au second semestre estime-t-on. La vie devenant de plus en plus compliquée, le jeune Jacques dut émigrer vers un village voisin à la recherche d’un horoscope, mieux un eldorado pouvant l’aider à subvenir aux besoins les plus pressants. Après une année, il rentra au village par le souci de sa mère pratiquante de la religion protestante car, dans ce temps, les enfants étaient presque le seul espoir pour une famille comme la leur. Grandissant, le jeune homme devint chantre ou choriste, selon le vocable choisi, dans la paroisse.
En 1998, il fera l’heureuse rencontre d’une jeune fille chrétienne, Mamy BOGALI SIGO WALO qui, habitant chez son évêque, le Pasteur NGONDE d’heureuse mémoire. A l’en croire, Dieu lui aurait rassuré que c’était la femme de sa vie. Ils se seront mariés le 24 janvier 1999, soit une année après. De leur union, naquirent cinq enfants dont deux filles et trois garçons.
Il s’agit de :
Signalons que de ces enfants, deux sont jumeaux, le garçon Gédéon et la fille Esther.
En 1998, il rencontra une jeune fille chrétienne comme elle pouvait l’être, Mamy BOGALI est son nom, chez le pasteur NGONDE d’heureuse mémoire. Dieu l’ayant rassuré qu’elle était la femme de sa vie, ils se marièrent le dimanche 24 janvier 1999. De leur union, leur sont nés cinq enfants dont deux filles Ruth et Esther (jumelle) et trois garçons, Gédéon (jumeau), Metuschelah et Baruti.

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